Arash Nassiri, artiste français d’origine iranienne né à Téhéran en 1986, installé à Berlin depuis plusieurs années après avoir notamment vécu à Londres, Genève et Paris, porte avec lui, comme dans son travail, une réflexion constante sur la manière dont l’identité se construit. C’est sans doute ce questionnement qui l’a conduit si régulièrement à Los Angeles, ville où l’artificialité est une forme d’authenticité parmi d’autres. Dans la Cité des Anges, et plus particulièrement dans le quartier très prisé de Beverly Hills, Arash explore les « palais persans », construits par le célèbre architecte Hamid Omrani pour des familles fortunées issues de la diaspora iranienne.
Le syncrétisme culturel y atteint son paroxysme : ces villas luxueuses amalgament, sans hiérarchie, dorures d’inspiration versaillaise et colonnades néoclassiques, mobilier oriental et confort résolument américain. Cette recherche – qui interroge tout autant la formation de l’imaginaire que la notion d’héritage – lui a permis de bénéficier d’une résidence à la Villa Albertine en 2024, et fait désormais l’objet d’un soutien inédit entre la Chisenhale Gallery à Londres et la Fondation Pernod Ricard, qui accueilleront successivement une exposition personnelle de l’artiste en 2026.
Premier volet à la Chisenhale Gallery, Londres en février/Avril 2026
A propos de l'artiste :
Arash Nassiri est un jeune artiste franco-iranien né à Téhéran en 1986. Il vit et travaille à Berlin. Après un passage aux Beaux-Arts de Paris, un échange à Berlin pour étudier la relation entre art et technologie, et une formation aux Arts-Décoratifs à Paris pour étudier la photographie et la vidéo, il termine ses études au Fresnoy de Tourcoing. Son travail explore l’héritage de l’influence occidentale sur Téhéran. Parmi ses expositions récentes : Half-Light, KW Institute for Contemporary Art, Berlin, 2024 ; Rayon Jouets, Hangar Y, Paris, 2024 ; GRIS NARDO, Octo Productions, Marseille, 2023 ; Barbe à Papa, CAPC Bordeaux, 2022 ; Metabolic Rift (Berlin Atonal), Kraftwerk Berlin, 2021. Ses oeuvres vidéo ont été projetées au New Directors MOMA, à la Biennale de Berlin, à l’ICA de Londres et au CPH:DOX à Copenhague.
Le syncrétisme culturel y atteint son paroxysme : ces villas luxueuses amalgament, sans hiérarchie, dorures d’inspiration versaillaise et colonnades néoclassiques, mobilier oriental et confort résolument américain. Cette recherche – qui interroge tout autant la formation de l’imaginaire que la notion d’héritage – lui a permis de bénéficier d’une résidence à la Villa Albertine en 2024, et fait désormais l’objet d’un soutien inédit entre la Chisenhale Gallery à Londres et la Fondation Pernod Ricard, qui accueilleront successivement une exposition personnelle de l’artiste en 2026.
Premier volet à la Chisenhale Gallery, Londres en février/Avril 2026
A propos de l'artiste :
Arash Nassiri est un jeune artiste franco-iranien né à Téhéran en 1986. Il vit et travaille à Berlin. Après un passage aux Beaux-Arts de Paris, un échange à Berlin pour étudier la relation entre art et technologie, et une formation aux Arts-Décoratifs à Paris pour étudier la photographie et la vidéo, il termine ses études au Fresnoy de Tourcoing. Son travail explore l’héritage de l’influence occidentale sur Téhéran. Parmi ses expositions récentes : Half-Light, KW Institute for Contemporary Art, Berlin, 2024 ; Rayon Jouets, Hangar Y, Paris, 2024 ; GRIS NARDO, Octo Productions, Marseille, 2023 ; Barbe à Papa, CAPC Bordeaux, 2022 ; Metabolic Rift (Berlin Atonal), Kraftwerk Berlin, 2021. Ses oeuvres vidéo ont été projetées au New Directors MOMA, à la Biennale de Berlin, à l’ICA de Londres et au CPH:DOX à Copenhague.